dimanche 7 février 2016

Hammerfall et le power metal

Apprendre à philosopher à coup de marteau… Pour sûr, Hammerfall est bien loin d’appliquer ce précepte de Nietzsche malgré leur nom et, pas de chance pour eux, les coups de boutoir de ma chronique tâcheront d’écraser cet étron musical à coups de marteaux dignes de ce nom… Il est vrai que depuis la fistinière, le marteau belliqueux du Dieu Thor a été remplacé auprès de la fange métallique par des attributs phalliques comblant les amateurs musicaux du genre d’un plaisir anal coupable. Est-ce une raison de se laisser sodomiser par leurs groupes de merde ? Et pour cause, le chant de ce groupe équivaudrait à imaginer Eric Adams, l’impétueux chanteur de Manowar, châtré, et privé de tous ses droits virils ! Cette faiblesse servile est d’autant plus présente chez ce groupe que les paroles évoquent la gloire du guerrier solitaire accédant au trône de la vertu suprême, mais, mais… à la condition qu’il soit accompagné des couilles velues de ses compagnons d’armes sur ses cuisses ! « One for all! Together standing strong, we will prevail, let us hail » Faut-il rappeler à ces moutons grégaires que la victoire d’un Homme contre l’adversité n’est plus victoire mais pitoyable servage dès lors qu’il la partage avec la multitude, cet Homme ne devenant par là plus qu’une moitié d’Homme ? Un véritable combattant invaincu se doit par conséquent d’éclater entre ses poings féroces ce « nous » qui n’a aucune raison d’être, hormis pour le déshonneur de la masse de perdants merdaleux aliénés dérivant par les égouts de l’internet pour se retrouver « together » dans la déchetterie d’un quelconque festival metal. Comment réagir ainsi suite à un « Steel Meets Steel », dont l’homosexualité refoulée, désormais univoque laisse éclater au grand jour la médiocrité du genre power metal qui n’a au fond de force que dans la pression exercée par un jeune métaleux sur ses sphincters, qui, posant recroquevillé son derche sur le banc d’arrêt de bus de son lycée, petit cul encore tout dilaté des fists de marteaux insérés par ses amis au dernier concert de Dragonforce, chercherait tout tremblant à dissimuler sa faiblesse devant le passage devant lui de fans véritables de heavy metal trônant au sommet de la masculinité. L’Homme élevé à Manilla Road, Manowar, Judas Priest et Virgin Steele n’a cure de ces déchets faméliques qui polluent non seulement son espace visuel à cause de leurs cheveux sales et hirsutes, mais surtout sonore comme le prouvent les chansons aux chœurs sirupeux et grotesques d’Hammerfall ! La reprise du Child of the damned du groupe Warlord au milieu de l’album dénonce bien par sa présence honteuse le manque de respect de ce groupe imbu de lui-même qui s’empare du patrimoine musical des guerriers jouant dans la cour des grands pour pouvoir mieux aussitôt le salir. Il est pas conséquent grand temps que tout cela cesse et de rendre à Caesar ce qui est à Caesar… et à l’untermensch ce qui est à l’untermensch, autrement dit une musique faible et castrée dans un corps de lâche ! Ne vous y méprenez pas, ce pseudo-groupe de heavy chié impudiquement outre-atlantique n’est qu’un prétexte pour démasquer la majorité du public composant cet étron culturel, à savoir le geek boutonneux, livide et asocial qui se fait une fierté personnelle d’arborer des patchs de ce genre de groupe sur sa veste toute souillée déjà d’autres patchs Nightwish et autres Dragonforce. Constatant que le geek tend de plus en plus à diffuser son potentiel de nuisance au sein de la société, je me suis dit qu’il était grand temps de renvoyer cet animal au néant d’où il vient. Avant tout, il s’agit de faire choir ce genre d’énergumène du piédestal de sa sous culture vidéo-ludique sur laquelle il se vautre comme un porc dans son fumier. Non content d’être relégué au fond du couloir assis près des chiottes dans son lycée avec son ordinateur sur les genoux accroissant par là à terme la stérilité de ses testicules selon les spécialistes, le geek se révèle être d’une insupportable arrogance dès lors que l’un de ses jeux préférés est abordé sans même être critiqué. Honte à celui ne sachant pas que les boules de feu dans Street fighter se nomment Hadouken… « C’est la base » lui répliquera sèchement le jeune gaymeur en redressant hautainement ses lunettes moisies sur sa gueule boursoufflée d’acné. Sauf que quand on est un homme, la base, jeune jean-foutre, c’est de s’essuyer les pieds sur ton sweat shirt zelda vert fluo lorsqu’on entre dans une salle, et si ça ne te plaît pas, ta coiffure de plumeau aura servi de débouche-chiotte avant que tu aies eu le temps de lever tes petits yeux bridés vers la face auguste du mâle alpha venu te soulever par les pieds. Assis en meute autour d’une vulgaire partie de RPG dite jeu de rôle, le geek est incapable de se défendre autrement que par des cris de zo-tri en train de se noyer pour glapir un appel au secours. Quant à la femelle geek, celle-ci rivalise de laideur et de poids avec les plus grands cachalots des côtes japonaises et il faudrait être un marin expérimenté pour s’en approcher sans s’évanouir à cause de l’odeur d’urine, ce qui nécessite plusieurs années d’entraînement à la vie au sein d’une communauté brassant à la fois merdaleux, sadiques masters, homosexuels et no-lifes pour pouvoir, à la manière d’Adibou préparant un gâteau pourri dans sa cuisine, créer, à partir de ce mélange incongru de dégénérés, une catégorie sociologique d’individus tournée exclusivement vers l’informatique et l’abrutissement corporel. Si, par clémence envers cette sous-humanité, vous admettez apprécier les jeux vidéos de type FPS tels que Doom, Wolfenstein et Quake, le geek vous enverra systématiquement paître en vous grondant : « Il serait temps de changer de type de jeu quand même ! ». Au nom de quoi, connard, devrais-je abandonner ma bonne vue subjective à tirer sur des ennemis aussi redoutables qu’honorables, pour devoir aller chasser du chenipan pédé comme un handicapé dans les fourrés de pikachu pour me faire gang bang par Sasha et Pierre ensuite dans l’arène ? Il serait surtout temps que le geek lave ses dreadlocks de drogué amateur de schnouf ! Mais cela n’importe pas au geek, animal apatride, qui traitera de fasciste quiconque réaffirmerait le primat légitime de La Fontaine sur Dragonball Z. Au final, le geek est un non-être trouvant son épanouissement dans un univers virtuel aussi castrateur que les arrières monde de l’apôtre Paul que dénonçait déjà Nietzsche dans L’Antichrist pointant du doigt l’éloignement du sens de la vie terrestre que cela engendrait. De sa supériorité factice, le geek n’en demeure donc pas moins un déchet humain dont personne ne veut et dont l’armure de son guerrier niveau 60 sur World of warcraft ne pourra rien contre l’épreuve du réel et de cette chronique qui réaffirme de droit l’inanité du parasite geek au sein de notre civilisation.